Phases bactériennes, virales et mycéliennes.

Les virus et les symbioses en Biomagnétisme par paires d'aimants.

BIOLOGIE - ANATOMIE

Par Alex Lange N.D.

3/10/20235 min read

Les virus.

Certaines études affirment que nous respirons environ 200 000 virus par minutes au repos et 2 000 000 pendant un activité physique. Le virus est à l'échelle des micromètres. Dans 1 mètre cube d'aire on en rencontre environ 1.7 et 40 millions.

Chaque jour nous sommes en contact avec des milliers de bactéries et virus. Constamment dans notre corps et sont aussitôt détruits si le système immunitaire est bien renforcé par l'équilibre et le respect des facteurs naturels de la santé.

Les virus, tout comme les champignons, aiment un terrain sombre, chaud, humide et acide et n'aime pas l'oxygène et un milieu alcalin. Notre système immunitaire contrôle la gestion des virus. L'oxygène renforce le système immunitaire.

Certains scientifiques expliquent un concept différent de que ce qui est dit en milieu populaire. Voir l'article : Concept de la maladie et pléomorphisme.

Si vous désirez ne plus avoir de virus, vous devez arrêter les modes de vie et perturbateurs biologiques (anti-vie).

un virus entre dans la catégorie de microbes, de micro organismes.

Dans les microbes, il y a 4 catégories : 1 : Moisissures, 2 : protiste ou protozoaire (Unicellulaire). 3 : les bactéries et 4 : les virus.

1. Moisissures, comme levures, champignons et spores. Cette phase permet la fin de la dégradation de la matière organique, minérale.

2. Protistes, ou protozoaires, comme les parasites.

3. Bactéries, comme la vie sur terre. Elle est autonome et adaptogène. Elle ont des fonctions infinies. Certaines sont bonnes, d'autres moins lorsqu'elle sont surpeuplées. Comme la échiria coli, thermophilus, ou bifidus. Certaines sont très pathogènes comme le tétanos, la salmonelle, la peste. Dans notre corps, l'inflammation c'est l'attaque d'une bactérie dite pathogène. les macrophages (de type phagocytes) servent à détruire l'agent pathogène. Un phage est un virus conçu naturellement pour une raison spécifique. En plus clair, pour garder l'équilibre et agir sur une bactérie spécifique qui troublait l'équilibre... Par La phagocytose (Processus de défense cellulaire, fonction destructrice des phagocytes).

4. Les fameux virus ! Plus de 5000 décrites, plus de 150 pathogènes pour humains, comme influenza, corona, srass, sida, l’herpès, etc. Ils sont 10 fois plus petit qu'une bactérie. (0.05 - 0.1 micron).

Les virus, pour se développer, ils doivent se fixer et infecter les cellules d'un organisme. Ils sont fait d'une coque d' ADN (molécule de base des être vivant), ou avec ARN (matériel génétique). La mutation c'est la coquille qui se fixe aux cellules. Il n'y a pas de noyau, ni mitochondrie. En fait, les virus sont essentiellement que des capsules qui contiennent du matériel génétique. (Un petit paquet d'informations détournant le fonctionnement interne de la cellule. Les cellules hôtes sont finalement détruites au cours de ce processus). Le virus à ADN possède une intelligence comme le SRAS, grippe, hépatite «C». Le virus à ARN est pathogène et résonne avec une bactérie non pathogène, comme la polio, les oreillons, l'herpès, l'hépatite «B». Il y a aussi les rétrovirus qui ne détruisent pas la cellule, mais qui la contrôle avec l'ADN fabriqué à partir de l'ARN. (Ceci sont les grandes lignes, mais c'est beaucoup plus complexe que ça).

Le message pourrait dire à la cellule de combattre d'autres cellules, en lui disant qu'elles sont l'ennemi. Comme une maladie auto-immune.

Les symbioses.

En Biomagnétisme par paires d'aimants, il y a un pôle acide et un pôle alcalin, tous deux résonnants sur la même fréquence. Il y aura deux organismes fonctionnant à leur avantage mutuel. Un virus n'est jamais seul, il est en symbiose avec une bactérie. Les virus et les bactéries se renforcent mutuellement. Les bactéries fabriquent la muco protéine qui donne la viabilité au virus. Les virus n’ont pas leur propre métabolisme, ils ne respirent pas et n’excrètent pas, ils se reproduisent simplement. Mais lorsque les virus trouvent les bonnes bactéries, ils commencent à communiquer sur leur propre fréquence spécifique, ce qui entraîne des maladies. Les virus préfèrent un environnement acide, tandis que les bactéries préfèrent un environnement alcalin. Ainsi, une bactérie et son virus résonnant seront localisés dans différentes zones du corps. Un ne vie pas sans l'autre...

Une fois la bactérie, ensuite le virus, ce terrain avec la matière organique, l'humidité, peu de lumière, un ph acide, cela laisse place aux champignons ! Oui, Les champignons doivent avoir un virus qui préparera l'environnement (pH acide). Si le virus est éliminé, les champignons se décomposent et disparaissent d'eux-mêmes.

Par conséquent, si des champignons sont présents, un virus doit être présent. Inversement, si un virus est présent, cela ne signifie pas nécessairement qu’il y a des champignons, car le virus n’a pas besoin des champignons, mais d'une bactérie.

Les virus et les champignons préfèrent tous deux un environnement acide.

Les bactéries et les parasites préfèrent un environnement plus alcalin, plus neutre, voir légèrement acide.

Lorsque vous trouvez un champignon, vous devez également rechercher le virus qui le supporte.

Pour les parasites, il y a présence de bactéries, car ils s'en nourrissent. Par conséquent, là où vous trouvez des parasites, vous trouverez des bactéries, mais pas nécessairement l'inverse. Si la source de nourriture du parasite (bactéries) est éliminée, ils finiront par mourir (à moins d'agir comme un réservoir).

Dépolariser une symbiose se fait en attaquant les deux. S'il y a parasite, on traite aussi la bactérie, sinon, la bactérie se multipliera et le patient commencera à avoir des symptômes amplifiés liés à l'infection bactérienne. Les parasites peuvent agir comme des réservoirs bactériens. Si la bactérie est éliminée, mais que le parasite n’est pas trouvé, le parasite peut expulser une partie des bactéries pour réinfecter l’hôte, rétablissant ainsi son approvisionnement alimentaire.

La question de symbioses est très importante. C'est toujours valide pour tout dans ce monde et malheureusement, nous avons tendance à pointer qu'une seule polarité et attaquer. En réalité, ils ne sont pas les seuls en cause... De plus, certaines façons de limiter la propagation, n'aide pas au système immunitaire et c'est pourtant lui seul qui importe en cas d'exposition aux agents pathogènes. Il n’est pas nécessaire de disposer au départ d’anticorps, mais plutôt d’avoir un système immunitaire qui active rapidement l’ensemble de ses mesures protectrices afin de bloquer l’action nocive du virus. C'est plutôt par l’adoption d’un mode de vie sain et naturel, qu'on peut corriger cette déficience et maintenir l’efficacité de notre système immunitaire.